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Le contexte qui couve la dernière sortie des Léopards en phase de groupes de la CAN 2023 est d'autant plus tensif que l'on ne peut ne pas envisager des désagréments qui pourraient s'avérer préjudiciables pour la suite de la compétition. Parmi les risques qu'encoure la RDC, il y a notamment le cas du défenseur Chancel MBEMBA dont le danger de suspension au match de huitième de finale, en cas de qualification, est certain. Ainsi, la question de savoir si c'est vraiment opportun de le faire jouer ce mercredi soir devient intéressante. Si, du fait de la malchance, Chancel MBEMBA prend un carton jaune ce soir face à la Tanzanie, comme il en a pris un peu "bêtement" face au Maroc, il sera suspendu pour le prochain match des Léopards. Ainsi dit le règlement de la CAN, à son article 42, point 2....

C'est eux qui font la loi. Visiblement, malgré qu'il l'ait dit de la manière la plus crue qui soit, l'ancien sélectionneur de la Tanzanie n'avait pas tort. Au delà de tout ce qui se dit sur les accointances avérées entre la Fédération Royale Marocaine de Football et la Confédération Africaine de Football, un autre élément probant vient corroborer la thèse selon laquelle la CAF est très complaisante vis-à-vis du Maroc. Privilège de couverture de la CAN Ils sont 150, les journalistes marocains, partis du Royaume Cherifien pour la Côte d'Ivoire, le but étant de couvrir la 34e CAN. Un nombre abusif, qui excède le quota fixé par la CAF pour chaque pays. Notre source sur place nous renseigne que, le nombre d'accréditations pour journalistes réservé à chaque pays participant à la CAN était ...