Le peuple sud-africain a sanctionné le Congrès national africain (ANC) au terme des élections générales organisées le mercredi 29 Mai dernier.

Le célébrissime parti politique au pouvoir n’a obtenu que 40% des suffrages, au grand désarroi de son leader du moment, le chef de l’état Cyril RAMAPHOSA. Une dégringolade inédite, synonyme d’une perte inquiétante de la majorité absolue à l’assemblée nationale. Du jamais vu depuis la fin de l’apartheid, il y a 30 ans, pour le parti dirigé à l’époque par le « Héros national » Nelson MANDELA.

Des élections suivies de très près par plusieurs grandes personnalités au niveau mondial, c’est le cas de Martin FUYULU, qui n’est pas resté silencieux, après la publication des résultats.

« Je salue la solidité des institutions de l’Afrique du Sud. La Commission Électorale Sud africaine a prouvé son indépendance en respectant la souveraineté du peuple » a indiqué l’opposant congolais sur son compte X.

« Je félicite également le parti ANC car, bien qu’étant au pouvoir, il n’a pas cherché à manipuler les résultats. Tous les dirigeants africains qui cherchent à truquer les élections doivent suivre cet exemple » a ensuite ajouté le candidat malheureux à la présidentielle, en République Démocratique du Congo.

Matamela Cyril RAMAPHOSA, est un septuagénaire, en fonction depuis le 14 Février 2018, en remplacement du président démissionnaire Jacob ZUMA.

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Par: Richard Muhima

𝐂𝐡𝐞𝐫𝐜𝐡𝐞𝐮𝐫 𝐞𝐧 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐈𝐧𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐣𝐨𝐮𝐫𝐧𝐚𝐥𝐢𝐬𝐭𝐞 𝐩𝐨𝐥𝐲𝐯𝐚𝐥𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐩𝐮𝐢𝐬 𝐩𝐥𝐮𝐬𝐢𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐚𝐧𝐧é𝐞𝐬, 𝐥𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐠𝐨𝐥𝐚𝐢𝐬 𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐜𝐮𝐥𝐢è𝐫𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐬𝐩é𝐜𝐢𝐚𝐥𝐢𝐬é 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐝𝐨𝐦𝐚𝐢𝐧𝐞 𝐬𝐩𝐨𝐫𝐭𝐢𝐟. 𝐈𝐥 𝐞𝐬𝐭 𝐛𝐚𝐬é à 𝐆𝐨𝐦𝐚, 𝐯𝐢𝐥𝐥𝐞 𝐭𝐨𝐮𝐫𝐢𝐬𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐬𝐢𝐭𝐮é𝐞 à 𝐥'𝐄𝐬𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐑é𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐃é𝐦𝐨𝐜𝐫𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐮 𝐂𝐨𝐧𝐠𝐨.