En République Démocratique du Congo, la Commission Électorale Nationale Indépendante s’apprête à organiser les élections des Sénateurs, Gouverneurs et Vice-Gouverneurs.

Un scrutin dont elle compte parer à toute éventualité afin que les heureux élus ne souffrent d’aucune contestation. Sauf que pour l’instant dans les camps de potentiels candidats, il y a des actes de corruption qui sont déjà signalés.

Ce qui pousse la centrale électorale à rappeler « aux uns et autres que la corruption constitue un acte répréhensible et une infraction prévue et condamnée dans le Code Pénal congolais. Quiconque s’y livre, s’expose à des poursuites judiciaires » prévient l’institution chapeautée par Deni KADIMA dans un communiqué.

Et d’ajouter:

 » […] se réserve le droit de saisir les juridictions compétentes en vue des enquêtes et éventuellement des sanctions exemplaires. » Aux uns et aux autres, la CENI veut « une compétition saine, loyale, juste et dénuée de toute forme de corruption et de fraude » insiste-t-elle.

A propos de l'auteur

Par: Richard Muhima

𝐂𝐡𝐞𝐫𝐜𝐡𝐞𝐮𝐫 𝐞𝐧 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐈𝐧𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐣𝐨𝐮𝐫𝐧𝐚𝐥𝐢𝐬𝐭𝐞 𝐩𝐨𝐥𝐲𝐯𝐚𝐥𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐩𝐮𝐢𝐬 𝐩𝐥𝐮𝐬𝐢𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐚𝐧𝐧é𝐞𝐬, 𝐥𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐠𝐨𝐥𝐚𝐢𝐬 𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐜𝐮𝐥𝐢è𝐫𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐬𝐩é𝐜𝐢𝐚𝐥𝐢𝐬é 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐝𝐨𝐦𝐚𝐢𝐧𝐞 𝐬𝐩𝐨𝐫𝐭𝐢𝐟. 𝐈𝐥 𝐞𝐬𝐭 𝐛𝐚𝐬é à 𝐆𝐨𝐦𝐚, 𝐯𝐢𝐥𝐥𝐞 𝐭𝐨𝐮𝐫𝐢𝐬𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐬𝐢𝐭𝐮é𝐞 à 𝐥'𝐄𝐬𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐑é𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐃é𝐦𝐨𝐜𝐫𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐮 𝐂𝐨𝐧𝐠𝐨.